Sous la direction de Michel Prieur, Émilie Gaillard et Mohamed Ali Mekouar
Privilégiant les narrations concrètes plutôt que les débats théoriques, l’ouvrage vise à percer le monde – parfois fermé et souvent secret – de la diplomatie environnementale. Sur fond d’expériences tangibles et de cas pratiques, il rend compte du fonctionnement réel du droit international de l’environnement. Parmi les champs labourés par la diplomatie environnementale, l’ouvrage illustre un large éventail de sujets, allant de la démocratie environnementale à la justice transgénérationnelle, en passant par la diversité biologique, les écosystèmes forestiers, le milieu marin, les pollutions transfrontières et les ressources partagées. Relevant enfin la tendance à la digitalisation généralisée des interactions diplomatiques, l’ouvrage retrace ses atouts autant que ses aléas, soulignant que la diplomatie est aussi empathie, sans écran interposé, car fille de confiance et de solidarité.