Gwenaël LEBLONG-MASCLET

DGA de pôle de développement culturel

Son parcours

Après Sciences Po, il a passé 18 mois à l’INET et effectué un stage de prise de poste de 6 mois. Il est nommé chargé de mission dès sa sortie de l’INET. En 2012, il devient adjoint de la DGA ressources par la Ville de Rennes, en parallèle de ses fonctions de directeur des finances et de ses missions d’appui managérial au DGS. En 2015, face au besoin de structuration du projet administratif et stratégique de Sciences Po Rennes, il rejoint l’équipe de Direction comme DGS pour 3 ans, après avoir été président de l’association des Anciens, et avoir co-construit la chaire TMAP. Depuis 2018, il est DGA au pôle de développement culturel, éducatif et sportif de Brest Métropole.

Son expérience Sciences Po Rennes

Sciences Po rennes lui a appris à raisonner en pilote de l’action publique, et le militantisme étudiant a complété cette compétence en lui apprenant à raisonner sur la stratégie politique. Pour Gwenaël, le souvenir de ses professeurs est marquant, et ils restent des sources d’inspiration, même s’ils sont ensuite devenus des amis et collègues. Il garde également un bon souvenir de l’ambiance du cloître, “cette agora où l’on peut débattre et s’interpeller en toute liberté, avec respect et convivialité”. Enfin, il retient la phrase de Dominique Maliesky, prononcée le jour de son départ pour l’Inet : «Gwenaël, vous êtes le sourire de cette promotion, vous allez nous manquer».

Son année à l'étranger

Gwenaël a passé sa 3e année à l’institut des hautes études européennes de La Haye aux Pays Bas, car il hésitait à l’époque entre la fonction publique territoriale et la fonction publique européennes. L’expérience du modèle social néerlandais, basé sur la «pilarisation», c’est-à-dire la reconnaissance des différentes communautés sociales et religieuses comme piliers du fait social, a été une véritable source de réflexion sur le vivre ensemble. Cette année lui a permis de s’ouvrir au monde et à des systèmes de pensée et de valeur différents. Ses différents stages en France et à l’étranger l’ont convaincu que son envie était celle de l’action et du rapport quotidien avec le terrain.